C'est le huitième jour depuis que j'ai commencé ce blog, avec le but d'écrire une page A4 par jour. Avec 2 pages dans le four j'ai quand même 2 pages de retard et ça me chagrine, ... ça me stress. Pourtant je suis assez content et fière d'en être quand même arrivé la, avec autant d'explications sur des sujets qui me tiennent a cœur. En fait ca fait plus de 2 semaines, que j'ai commencé à écrire, depuis j'ai pris bien du retard a publier. D'ajout en ajout mon dernier texte a gagné deux pages et j’espère de la clarté. En parallèle j’écrivais ou relisais en modifiant les 2 pages ci et les presque 4 A4 en anglais. De stress il y en a plus, mais plutôt envie de pas abandonner la partie. Que la discipline auquel j'ai cru bon m'astreindre n'étrangle pas le plaisir qu'il y aurait a me voir noircir la page.
On à posé la question de savoir si ca ne serait pas mieux d'écrire en anglais, car plus de gens comprendraient, même si avec google translate on peut le traduire par petits bouts. Demain et pendant une semaine je fait l’essai et vous pourrez utiliser translate.google.com pour le comprendre.... Ma langue maternelle c'est l'anglais, ayant vécu ma jeunesse en Australie; ma mère est anglaise, une partie de ma culture l'est et c'est certainement un avantage par rapport à une compréhension plus immédiate du net ou de l'univers..... Ça peut paraître gonflé c'est certain, mais je suis, parait il, quelqu'un de flegmatique donc j'ai de la peine à me dégonfler.....
C'est dure d'être en retard aussi de par ces pages que j'aurais déjà du écrire, cela m'incite à tenter d'allonger mes explications, d'un peu tricher sur la volonté d'être court, précis, sans chichis. Pourtant il y aurait peut être besoin de plus d'exemples, plus d'informations pour mieux comprendre l'épaisseur de ce que j'avance. A vous de le demander. On m'a déjà exprimé le désir de savoir plus sur mon idée des comptoirs (en Tunisie) et à travers ça j’entrevoie une forme nouvelle de motivation majeur, écrire qui devient dialogue, essai devenant livresque, oser se transforme en œuvre, exercice devenant style?
Ce but pas si difficile en apparence m'a déjà fait donner 6 pages de ma pensée de façon j’espère compréhensible.... Ca m'a aussi fait chercher des chiffres et voir que dans les données tout n'est pas clair, que tout reste à clarifier et qu'il faut absolument que je revois certains films comme "We feed the World" , "The ugly truth" ou "Food Inc" afin de confronter leurs réflexions à ceux que j'ai trouvé sur le web.
Ce travail de journaliste amateur a été passablement passionnant, de se relire, de ne pas se répéter, de commencer un texte sans savoir ce qu'il y aura sur la page à la fin. Ça me rappelle quand j'ai terminé l'école d'horticulture et j'avais fait un journal avec des faits divers arrivés juste avant la fin de l'année. Pendant un temps j'avais beaucoup écrit, au point d'écrire des lettres au journaux (sans se faire publier), un journal pendant mon année de voyage (perdu et renvoyé chez mes parents), des mails à mes potes, des poèmes dans des cahiers, puis il y eu un vide ou tout cela me semblait vain, servant a rien, n'ayant qu'une qualité médiocre.
En fait je crois qu'a cause de mon besoin de justifier mes choix de vie, les lectures de l'époque (tel que Vaneigem ou Debord) la marijane et mes fréquentations... mon écriture s'est montré névrosé, chaotique, trop complexifié par les méandres d'idées qu'arrivaient toutes en même temps et que je n'arrivait à phrasifier sans maintes sous entendus et idées moralisantes. Comme personne ne semblait me prendre au sérieux, je n'arrivait à le faire moi même et tout perdait de sens, de but.
Depuis qu'est ce qui à changé? sur plusieurs années isolé volontairement, régulièrement sur mon terrain, des autres et de l'influence distractif de la société , n'ayant rien d'autre a faire que creuser, lire, et.......contempler, j'ai pu commencer mon autocritique....d'abord les regrets sur ce qui à ou n'a pas été, cela à duré longtemps, un été et continue parfois à me lanciner de doutes, puis ce fut la critique de ce qui est (le présent) et comment c'est, pendant un autre été, les avantages et désavantages, les envies , les ennuis. Puis l'an dernier, comment j'anticipais la suite avec une certaine mise en question du présent, j'ai coupé les ponts avec un ami de longue date, je me suis mis à faire des abdominaux et j'ai fait un sérieux effort pour arrêter de fumer. Au début de l'automne, un peu comme cerise sur le gâteau, j'ai rencontré quelqu'un qui me botte sérieusement et pour qui j'étais prêt à vouloir faire un effort pour changer et remettre en cause certaines de mes habitudes. Ainsi j'ai du (pu) faire une sérieuse remise en cause de mes raisonnements qui m'amenaient à de tels abérations comportementales.
Le fait que je prennent peu soin de mon apparence et moi même, que je n'ai aucun but réel ou ambition à réellement mettre en pratique des idées que j'avais. Tout cela devait nécessairement changer si je voulais gagner et garder son estime et amour. L'avantage était que je le faisait pas tout seul, que l’effort était perçu et discuté par l'autre. Je gratte ton dos et tu me le fera aussi, de face ou l'un après l'autre mais au-moins il y avait de nouveau ouverture de ma part sur une vie impliqué avec d'autres. Le processus continue et si je devais en tirer quelque chose c'est que souvent en disant ce qu'on pense on dit le contraire, ce qui est dû au subconscient et au manque de contradicteurs. La vie urbanise est très cassant pour le psyché et il est probable que nombre d'entre nous se cachent derrière leurs contradictions, addictions ou névroses plus ou moins apparentes. L'éducation actuel avec son accentuation sur les matières abstraites, la compétition et le monde du travail fait que les enfants vivent en dehors des réalités qui seront leurs.
C'est dommage car ceci a pour effet nombre de comportements anti-sociaux violents mais surtout ça nous bonsaifi (un néologisme pour dire qu'elle nous réduit de notre nature par ses contraintes). André Comte Sponville disait que la sagesse était la vie même, qu'elle est le chemin qui nous amène vers moins de dépendance sur l’espoir et de crainte "Quand tu à désappris d’espérer disait Séneque(c'est qui?) je t'apprendrais a vouloir...si le désir est l’essence même de l'homme, il s'agit de désirer un peu moins ce qui manque(ou ce qui ne dépend pas de nous) et un peu plus ce qui est (ou ce qui en dépend)
Ce que maintenant j'aimerais retrouver par l'exercice c'est une certaine puissance de parole, d'expression ainsi que l'intensité qui vient de s'exprimer sans langue de bois. Que mes analyses et critiques soient exposés par ce blog à la critique constructive de chacun et que cela m'aide à mieux expliquer et m'expliquer au autres. Il y a (malheureusement?) des thèmes dont je vais me censurer sauf si je me fait publier un jour, le vol, le suicide, les kamikazes, ma sœur, ma famille ou ma vie privé, car je trouve qu'un blog ne devrait être là pour les voyeurs, ceux qui cherchent des émotions faciles remplaçant la vie dont ils fuient l’ambiguïté, leur vie. La mienne est ainsi, vécu, décevant parfois mais finalement assez excitant (spannend)
Tiens aujourd'hui on m'a pris à part pour dire mon avis (filmé) sur le 8 mars, les femmes, l'amour....déjà j'ai dis que je savais que c'était la journée de la femme, puis que je pensait que les femmes étaient en déca de la liberté qu'ils avaient acquises; que penser de leur manque de solidarité face à leurs sieurs opprimées dans d'autres pays ou souffrant de la lenteur des changements chez nous....çà fait des siècles que l'homme est opprimé tout en ayant plus de droits que les femmes alors il aurait besoin d'un sérieux coup de main pour casser la cage....on en a parlé à la fin de l'interview ou eux disaient que les gens préfèrent l'ignorance et que le système est justement cage pour garder par les règles des questions qui remettraient en question le tout....pour l'amour je leur ai parlé d'Alberoni il/elle ne connaissait pas et 'ont demandé d'expliquer, ce que j'ai fait (assez mal) mais voila c'était comme sur un toboggan une fois que tu accepte de t'exprimer te voila pris jusqu'à la fin de la course.
Dommage que je ne leur ai pas demandé une copie, mais aussi que eux ne m'aient pas proposer. C'est parfois ce qui le plus dure pour moi, qu'il y ai si peu de gestes comme il faut ou l'on à envie de dire merci pour les mots.
On à posé la question de savoir si ca ne serait pas mieux d'écrire en anglais, car plus de gens comprendraient, même si avec google translate on peut le traduire par petits bouts. Demain et pendant une semaine je fait l’essai et vous pourrez utiliser translate.google.com pour le comprendre.... Ma langue maternelle c'est l'anglais, ayant vécu ma jeunesse en Australie; ma mère est anglaise, une partie de ma culture l'est et c'est certainement un avantage par rapport à une compréhension plus immédiate du net ou de l'univers..... Ça peut paraître gonflé c'est certain, mais je suis, parait il, quelqu'un de flegmatique donc j'ai de la peine à me dégonfler.....
C'est dure d'être en retard aussi de par ces pages que j'aurais déjà du écrire, cela m'incite à tenter d'allonger mes explications, d'un peu tricher sur la volonté d'être court, précis, sans chichis. Pourtant il y aurait peut être besoin de plus d'exemples, plus d'informations pour mieux comprendre l'épaisseur de ce que j'avance. A vous de le demander. On m'a déjà exprimé le désir de savoir plus sur mon idée des comptoirs (en Tunisie) et à travers ça j’entrevoie une forme nouvelle de motivation majeur, écrire qui devient dialogue, essai devenant livresque, oser se transforme en œuvre, exercice devenant style?
Ce but pas si difficile en apparence m'a déjà fait donner 6 pages de ma pensée de façon j’espère compréhensible.... Ca m'a aussi fait chercher des chiffres et voir que dans les données tout n'est pas clair, que tout reste à clarifier et qu'il faut absolument que je revois certains films comme "We feed the World" , "The ugly truth" ou "Food Inc" afin de confronter leurs réflexions à ceux que j'ai trouvé sur le web.
Ce travail de journaliste amateur a été passablement passionnant, de se relire, de ne pas se répéter, de commencer un texte sans savoir ce qu'il y aura sur la page à la fin. Ça me rappelle quand j'ai terminé l'école d'horticulture et j'avais fait un journal avec des faits divers arrivés juste avant la fin de l'année. Pendant un temps j'avais beaucoup écrit, au point d'écrire des lettres au journaux (sans se faire publier), un journal pendant mon année de voyage (perdu et renvoyé chez mes parents), des mails à mes potes, des poèmes dans des cahiers, puis il y eu un vide ou tout cela me semblait vain, servant a rien, n'ayant qu'une qualité médiocre.
En fait je crois qu'a cause de mon besoin de justifier mes choix de vie, les lectures de l'époque (tel que Vaneigem ou Debord) la marijane et mes fréquentations... mon écriture s'est montré névrosé, chaotique, trop complexifié par les méandres d'idées qu'arrivaient toutes en même temps et que je n'arrivait à phrasifier sans maintes sous entendus et idées moralisantes. Comme personne ne semblait me prendre au sérieux, je n'arrivait à le faire moi même et tout perdait de sens, de but.
Depuis qu'est ce qui à changé? sur plusieurs années isolé volontairement, régulièrement sur mon terrain, des autres et de l'influence distractif de la société , n'ayant rien d'autre a faire que creuser, lire, et.......contempler, j'ai pu commencer mon autocritique....d'abord les regrets sur ce qui à ou n'a pas été, cela à duré longtemps, un été et continue parfois à me lanciner de doutes, puis ce fut la critique de ce qui est (le présent) et comment c'est, pendant un autre été, les avantages et désavantages, les envies , les ennuis. Puis l'an dernier, comment j'anticipais la suite avec une certaine mise en question du présent, j'ai coupé les ponts avec un ami de longue date, je me suis mis à faire des abdominaux et j'ai fait un sérieux effort pour arrêter de fumer. Au début de l'automne, un peu comme cerise sur le gâteau, j'ai rencontré quelqu'un qui me botte sérieusement et pour qui j'étais prêt à vouloir faire un effort pour changer et remettre en cause certaines de mes habitudes. Ainsi j'ai du (pu) faire une sérieuse remise en cause de mes raisonnements qui m'amenaient à de tels abérations comportementales.
Le fait que je prennent peu soin de mon apparence et moi même, que je n'ai aucun but réel ou ambition à réellement mettre en pratique des idées que j'avais. Tout cela devait nécessairement changer si je voulais gagner et garder son estime et amour. L'avantage était que je le faisait pas tout seul, que l’effort était perçu et discuté par l'autre. Je gratte ton dos et tu me le fera aussi, de face ou l'un après l'autre mais au-moins il y avait de nouveau ouverture de ma part sur une vie impliqué avec d'autres. Le processus continue et si je devais en tirer quelque chose c'est que souvent en disant ce qu'on pense on dit le contraire, ce qui est dû au subconscient et au manque de contradicteurs. La vie urbanise est très cassant pour le psyché et il est probable que nombre d'entre nous se cachent derrière leurs contradictions, addictions ou névroses plus ou moins apparentes. L'éducation actuel avec son accentuation sur les matières abstraites, la compétition et le monde du travail fait que les enfants vivent en dehors des réalités qui seront leurs.
C'est dommage car ceci a pour effet nombre de comportements anti-sociaux violents mais surtout ça nous bonsaifi (un néologisme pour dire qu'elle nous réduit de notre nature par ses contraintes). André Comte Sponville disait que la sagesse était la vie même, qu'elle est le chemin qui nous amène vers moins de dépendance sur l’espoir et de crainte "Quand tu à désappris d’espérer disait Séneque(c'est qui?) je t'apprendrais a vouloir...si le désir est l’essence même de l'homme, il s'agit de désirer un peu moins ce qui manque(ou ce qui ne dépend pas de nous) et un peu plus ce qui est (ou ce qui en dépend)
Ce que maintenant j'aimerais retrouver par l'exercice c'est une certaine puissance de parole, d'expression ainsi que l'intensité qui vient de s'exprimer sans langue de bois. Que mes analyses et critiques soient exposés par ce blog à la critique constructive de chacun et que cela m'aide à mieux expliquer et m'expliquer au autres. Il y a (malheureusement?) des thèmes dont je vais me censurer sauf si je me fait publier un jour, le vol, le suicide, les kamikazes, ma sœur, ma famille ou ma vie privé, car je trouve qu'un blog ne devrait être là pour les voyeurs, ceux qui cherchent des émotions faciles remplaçant la vie dont ils fuient l’ambiguïté, leur vie. La mienne est ainsi, vécu, décevant parfois mais finalement assez excitant (spannend)
Tiens aujourd'hui on m'a pris à part pour dire mon avis (filmé) sur le 8 mars, les femmes, l'amour....déjà j'ai dis que je savais que c'était la journée de la femme, puis que je pensait que les femmes étaient en déca de la liberté qu'ils avaient acquises; que penser de leur manque de solidarité face à leurs sieurs opprimées dans d'autres pays ou souffrant de la lenteur des changements chez nous....çà fait des siècles que l'homme est opprimé tout en ayant plus de droits que les femmes alors il aurait besoin d'un sérieux coup de main pour casser la cage....on en a parlé à la fin de l'interview ou eux disaient que les gens préfèrent l'ignorance et que le système est justement cage pour garder par les règles des questions qui remettraient en question le tout....pour l'amour je leur ai parlé d'Alberoni il/elle ne connaissait pas et 'ont demandé d'expliquer, ce que j'ai fait (assez mal) mais voila c'était comme sur un toboggan une fois que tu accepte de t'exprimer te voila pris jusqu'à la fin de la course.
Dommage que je ne leur ai pas demandé une copie, mais aussi que eux ne m'aient pas proposer. C'est parfois ce qui le plus dure pour moi, qu'il y ai si peu de gestes comme il faut ou l'on à envie de dire merci pour les mots.