Actuellement dans la plupart des "démocraties" occidentales la loi agit et punit ceux qui occupent des bâtiments ou espaces laissés à l'abandon et ou servant à la spéculation. Il n'y a malheureusement aucun "middle ground", des espaces sans propriétaires, un espace public qu'on puisse occuper ou un droit d'usage sur des bâtiments vides.
C'est vrai qu'à Genève et ailleurs les gens ont acquis une espèce de jurisprudence par maintes luttes et occupations sur des espaces ou n'existait aucun projet urbanistique; ou si on arrivait à un accord avec le propriétaire. Sinon, et de toute façon au début les flics débarquait et t'avais intérêt a qu'ils ne puissent rentrer facilement, une camera était toujours utile et parfois le fait de dire avoir averti les proprios....
Un tel "usage" était avantageux pour l’État qui détenait une pression indirect sur les spéculateurs tout en agissant pour déloger les occupants quand les conditions étaient remplies. On à ainsi détruits d'innombrables œuvres d'art contemporains, des efforts de construction collectifs très belles et radicalisé voir marginalisé énormément de jeunes qui voyant les injustices commises ont réagit....C'est dommage, pas constructif et surtout pas démocratique, mais l’État géré par les politiques l'est en fait par les fonctionnaires(ou est ce que les politiques agissent comme fonctionnaires?). D'ailleurs que dire de cet démocratie, masque-rade pour un choix de nos représentants qui font de la politique politicienne, souvent de métier, siégeant sur "maintes" conseils d'administration et bénéficiant d’innombrables avantages faciles a cacher à la population qui en a vue d'autres et si pas en Suisse, "ailleurs c'est pire et puis que peut on faire?"
Ce désespoir, ce non espoir, de voir un changement est justifié puisque tout ce qu'on connaît existe et il ne pourrait exister d'autres façons de procéder. "C'est trop complexe, trop compliqué", "tout le monde ne serait d'accord" sont aussi les leurres dans un débat qui n'en est pas un quand les seules qui s'expriment ce n'est pas nous.
Démocratie pour moi veut dire que le peuple décide, sur tout, et pas sur un choix de candidats. Je suis pour la fin de la pratique politicienne actuel car elle est l'apanage des professionnels et trop manipulé par leurs antécédents. Par exemple comment se fait t'il qu'un vert (M. Brélaz) de Lausanne aie pu aider,voir pousser à la destruction d'un lieu de biodiversité extraordinaire à Lausanne , pour faire un Stade? N'y aurait il une peur de perte de pouvoir, un deal en coulisses, une préparation de retraite (selon nos journaux il ne gagne pas assez)
Les Grecs procédait a l’élection par hasard, faisons de même, avec nos superordinateurs ou par la main d'un enfant on pourrait élire nos co-citoyens qui seraient assistés par d'autres co-citoyens pour gérer de façon plus honnête un état embourbé dans ses combats d'arrière garde entre partis....de toute manière c'est les fonctionnaires qui constituent l’exécutif et leur expertise sera toujours là tant que l'on aura de quoi les payer.
Il serait aussi bien de morceler le pouvoir afin de mieux le contrôler de façon citoyenne, il faut revenir à la primauté du citoyen, son quartier, son village sur les besoins de la population (tant qu'elle ne vote pas) il est effet injuste qui pour quelques misérables pour cent l'ensemble de la population doit souffrir d'un nouveau centrale atomique (30% de votants). Dans ce cas j'aurais pensé plus intéressant de voter sur 2-3 semaines afin de permettre à plus de 3/4 de voter en commençant par ceux qui vivent autour de la zone de nuisance. (En occurrence pourquoi ne pas enfuir les déchets radioactifs sur place?) .
La politique actuel cherche à nous embrouiller en nous offrant un apparence de changement tout en gardant en main un pouvoir qui paie et surtout occupe énormément de gens comme un verre de sucre une ruche de guêpes.
Logement, politique.....économie, de ces trois domaines qui constituent pour moi la plus large part du monde publique de quelqu'un, l'économie est celle qui nous échappe le plus. Éduqué pour un métier, préparé pour travailler pendant 40 ans dés notre plus jeune age, nous pensons que la retraite est quelque chose pour lequel on cotise. Le 2em pilier, le chômage, l'état sociale qui rend la solidarité à ceux moins bien lotis, est comme une foret qui cache l'arbre. Cet arbre, l'économie, à besoin de nous humains pour gérer nos deniers, nous occuper à les gérer ou gérer d'autres qui gèrent d'autres. Il à aussi une fonction productif, à haute valeur ajouté, mais je vois plutôt son effet de redistribuer une richesse gagné ailleurs ou sur la différence des changes.
Finalement un salaire Suisse c'est comme l'aide humanitaire elle est bénéficiaire pour l'ensemble puisque on y consomme ce qui y est vendu. Contrairement à ce qu'on pense des marges des 1000% ou 10 fois le prix d'achat sont habituels et résorbés par des faux frais (salaires, loyers etc); alors pour un salaire moyenne de 6000chf quels sont les frais réels?
Ce qui est dommage c'est l'effet négatif qu'à cet culture du travail et d'argent sur l'environnement et l'humain. Nos centres villes massacrés par des projets spéculatifs de bureaux, rengorgent de magasins, sont vides la nuit, désertés par les troquets, bars et habitants d'antan. Nos campagnes envahies par des villas qui se ressemblent contenant des couples jeunes ou vieillissants en quête d'indépendance. Pourtant tout cet urbanisme dépend encore plus d'une société ou l'argent est roi. Payer les traites, meubler ces espaces vides chez ikea, avoir une voiture, s'enfuir du silence devant son grand écran. Cela prépare la future génération dans une nature qui n'en est pas une , ou la terre est sale et qu'il est dangereux de boire du lait non pasteurisé......
ABE A+
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